C’est en effet la question que je me suis posée en me faisant rappeler que c’était la journée internationale de la paix en ce 21 septembre. Il paraît que L’ONU fait de la paix son but premier. Que c’est réconfortant…
La Journée internationale de la paix a été instaurée en 1981 par les Nations Unies pour faire observer tous les ans une journée de cessez-le-feu et de non-violence dans le monde. Chaque année, partout dans le monde, on honore la paix de différentes manières le 21 septembre.
C’est aussi l’équinoxe d’automne (officieusement bien-sûr, car c’est officiellement le 23). J’éprouve de la tristesse en y pensant un peu. Au fait, à quoi sert cette journée ? À nous rappeler comment nous sommes loin « d’avoir la paix » ? Je ne parle pas seulement de la fin des guerres dans le monde, cette utopique idée qui flotte dans les esprits naïfs et rêveurs. Non, car pour plusieurs, la guerre est nécessaire. Tout est une question de contexte et de quel côté nous sommes. Je ne parle pas de la paix qui ne semble jamais arriver lorsque je regarde la télé ou lorsque je me gave de médias d’information de toutes sortes.
Je parle d’autres sortes de paix. Celle que j’aimerais avoir plus souvent au quotidien et qu’on oubli parfois de célébrer, soit le plaisir d’être en famille, de laisser couler le temps, de boire un coup entre amis ou de simplement se réveiller le matin en sachant que l’on ne travaille pas cette journée là (sans bruit de tondeuse).
C’est une vision terre-à-terre et peut-être égocentrique mais je suis porté à croire que la paix, tel que vu par l’ONU peut seulement commencer lorsque l’on à conscience de ces autres « moments de paix ».
C’est une vision terre-à-terre et peut-être égocentrique mais je suis porté à croire que la paix, tel que vu par l’ONU peut seulement commencer lorsque l’on à conscience de ces autres « moments de paix ».
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