vendredi 8 août 2008

Comment combattre cet été morose

Pour combattre cet été morose, il faut soit travailler pour l’oublier, ou bien aller voir ailleurs si nous y sommes. J’ai décidé de faire ni l’un ni l’autre; je prends une semaine de vacance bien méritée mais je reste au Québec. En fait, je vais « m’évacher » le long du Saguenay avec mes enfants et quelques livres. Voici, entre autre, ce qu’il y a dans ma valise et qui servira probablement à une critique probable dans ce blogue (ou ailleurs…).

Premièrement, je vais me délecter de l’art de Moebius et Jodorowski en m’immergeant dans le monde de « L’Incal ». Mélange de science-fiction, humour, sexe, violence et surtout «anticipation». Un univers monté de toute pièce qui me sortira assurément de la pression quotidienne de la R&D.


Cependant, malgré qu’il ne se passe pas grand-chose au Québec, politiquement parlant, j’ai pensé profiter de cette accalmie pour réfléchir un peu sur la situation de l’identité québécoise, tout en m’amusant un peu. J’ai récemment mis la main sur un « collectif » qui regroupe des psychanalystes et psychologues connus, s’épivardant sur le problème de l’identité québécoise, suite au cirque de la commission Bouchard-Taylor. Ce livre s’appel « Le Québec sur le divan ». Voilà une belle façon de regarder une situation complexe sous l’œil des fouilleurs d’âme, sachant que le Québec est malade de son identité, et que cette maladie est probablement psychologique.




En conclusion, il ne me reste qu’a dire « bebye ». On se revoit quelque part en Août.

2 commentaires:

lutopium a dit...

Bonnes vacances à toi et à ta famille. En espérant que le temps soit un peu plus clément... Salut!

Sir Seb a dit...

Merci pour les bons souhaits. En effet, le beau temps était de la partie. Je reviens avec des poches en dessous des yeux mais avec de beaux souvenirs de moments précieux avec mes enfants et trois tounes démo dans les poches... pas des yeux mais... vous savez ce que je veux dire anyway... Je reviendrais peut-être un jours sur ces démo, si le courage me gagne.